(dan) ★ from a glimpse.

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dan abrahams.

just a drop in the ocean.
ft. michiel huisman ★ crédit@michieldaily.

nom: Baptisé Niels Pennington, il ne retire de son catéchisme imposé que les jupes et boucles rousses de Clare Fitzpatrick, la plus jolie fille de son école à qui il réussit, un soir, à voler un baiser. Son patronyme, courant sur les lèvres des Irlandais qui estiment le patriarche, un peintre prodigieux, s'abandonne dans les décombres de son passé. Il se nationalise anglais sous le nom d'Abrahams, hommage au politicien dont il ne tarit pas d'éloges. Un grand homme, murmure-t-il, rédigeant son journal sous une lampe à pétrole. prénom: Daniel, raccourci en Dan, se charge d'un paradoxe ultime. Le coupable se fond dans les regrets, espère une expiation, se dit victime de sa loyauté - fidélité élitiste soustraite aux moins bien lotis. Il emprunte l'identité de son défunt ami, un bout du souvenir auquel son regard tourné vers l'avenir tente, sans fin, de s'extraire. Il se condamne seul à la mémoire de l'instant, se promet de marcher devant. Droit, en homme bon. âge et date de naissance: Il est dans sa trente-troisième année. Son esprit mathématique n'y voit toutefois que chiffres, recouvrant leur sens dans l'addition du un chaque année, le quinze septembre au matin. lieu de naissance: Enfant d'un Dublin huppé, mis au sein de la nourrice par convention aristocratique, il rompt avec les révérences et courtoisies d'usage en fréquentant les bas quartiers, retournant la carte postale. Il vit, entre ces murs tagués, dans ces entrepôts désaffectés, ces squats malfamés ; étouffait dans l'or indifférent, l'argent comptant. Électron libre, il brûle romans classiques et cartes alimentées, se fait fils des rues, des bars, de la pauvreté partagée. statut: Une rencontre hasardeuse, par un soir arrosé aux scotch pur malte et vins secs, suffit à bouleverser le scénario répété à la nuit tombée. Le Dom Juan, le salaud de ces dames, l'inexcusable, dévoile le contenu du velours céruléen, à quelque dizaine de mètres de hauteur, disposé à prêter serment, devant ce Dieu longtemps contesté, d'un amour éternel. Fiancé à Isobel Morgan, il adule le Chris d'Into the wild et, dans son ombre, corrige le résultat de l'équation accédant au bonheur - où drogues dures et délits se dissipent, s'oublient. job/études: Sans diplôme, malfrat repenti, il participe au règlement des factures en s'épanchant sur le talent d'artistes de rock, de jazz, de pop, s'efforçant de vendre albums et vinyles à prix cassé. Il se complaît dans son disquaire, échange avec les mélomanes, assiste aux premiers émois qui immortalisent leur idylle sur des notes de blues, de country mélancolique. orientation sexuelle: Il s'entiche des femmes, de leurs courbes harmonieuses sur lesquelles, délicat, il laisse courir ses doigts. Audrey Hepburn, idole du cinéma déjà, incarne, surtout, son idéal de beauté physique. groupe: In. avatar: Michiel Huisman.

Donnez les informations nécessaires sur votre personnage: ce qu'il aime, ce qu'il déteste, ses rêves et ses buts dans la vie, toutes les informations qui seraient bonnes à prendre. Faîtes preuve d'imagination et soyez complet en ce qui concerne cette partie.

pseudo/prénom: C. âge: 18. pays: France. fréquence de connexion: Tous les jours, sauf imprévus. où as-tu connu le forum? Bazzart. qu'en penses-tu? (dan) ★ from a glimpse. 2674354011

Code:: <taken>michiel huisman</taken> ≈ <pseudo>dan abrahams.</pseudo>

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welcome to the jungle.

✜ ✜ ✜Tu zappes les chaînes du câble, enfoncé sur le clic-clac dépareillé du squat. Il y a les politiciens, les télé-crochets insipides, les jeux stériles, les séries Z. Rien qui ne suscite chez toi le moindre intérêt. Tu votes blanc à chaque élection ; et n'écoutes le journal télévisé qu'en y étant forcé (comme les attentats du 11 septembre, diffusés à l'échelle mondiale). Tu te divertis, une Lucky Strike coincée entre tes lèvres ; et tu ne paies le billet de cinéma que pour un pseudo rendez-vous galant (à moins que la violence atteigne son paroxysme). Sang et bruits assourdissants te tiennent en haleine. D'un tempérament distrait, tu te lasses vite, sinon, lorsque tu prédis la fin du long-métrage, ou comptes le nombre de popcorns contenus dans l'emballage. Tu ne veux pas d'une vie réglée, du planning de la semaine, jusqu'aux verres d'eau devant être ingurgités. Tu aimes le relief des films, le suspense, les histoires vraies. À défaut de lire (tu feuillettes un chapitre par mois), tu apprends des images, des séquences, des plans, de la réalisation et des jeux d'acteurs. Cinéphile, tu échanges volontiers tes impressions - à chaud - et tes connaissances biographiques. La porte du garage émet un grincement, s'ouvre à demi sur la silhouette de ton ami. Tu éteins le téléviseur, soupires avant de le rejoindre à l'extérieur. « Les autres ? » Tu arques un sourcil, contrarié. Sans eux sur votre sillage, les flics obtiendront réparation des crimes innocentés, des flags échoués. Tu ne flanches pas devant l'autorité ; qu'est-ce que tu perds, ta fierté mis à part. « Des dégonflés. » Tu esquisses un sourire amusé. Ils regretteront la colère du Loup. Tu le crains, lui, peut-être autant que tu l'estimes, admires son arrogance. Il règne sur votre meute - souverain absolu, lorgnant sur les places supérieures des clans ennemis. Le deuxième au volant, tu t'installes dans le coupé sport, à l'habitacle exhalant l'argent sale - odeur que ta conscience profonde relèves, malgré l'habitude. Tu plisses le front en jetant un oeil au compteur, t'apprêtes à signaler l'excès de vitesse et renonces. Tu t'en moques. Les ondes diffusent des musiques d'electro dance, du rap, et d'autres sons bon marché (vendus à des millions d'exemplaires). Tu ne te forces pas à engager la conversation - ton humeur ne se prêtant pas aux vannes licencieuses et machistes. L'enseigne de la banque se dessine à l'horizon. Ton ami récite la stratégie décidée une semaine auparavant, en constatant le plan de l'établissement, les caméras de vidéo-surveillance et les codes. Ta mission s'arrête à l'accueil ; pas question que tu ouvres les coffres. Dans la bande, tu n'es rien. Le bas de la chaîne alimentaire, recevant les ordres et instructions. Mais, à toi, cela te convient, tu ne dis rien. Une qualité, dans le milieu - un gage de confiance. Certains tombent pour leur acte de rébellion, leur assurance démesurée. Toi, tu restes, apprécié. Tu fais le travail, et tu repars, sans gêner personne. Il te tend un Glock 22, et vous dissimulez vos visages sous un épais capuchon. Tu soutiens son regard sévère. « Il y a des gens, à l'intérieur. » Tu ne le sais que trop bien. Braquage, prise d'otages. « C'est bon. Je ne jouerai pas au héros. » Tu l'as fait, une fois. Pour une femme et son enfant - compromettant l'oeuvre. Et tu retiens la leçon. Ton coeur - si tant est qu'un mur de pierres ne l'encercle pas encore - n'a plus de prises sur toi, tes sentiments ne te trahissent plus. Tu sais que tu perdrais bien plus qu'un casse. Une famille. C'est ce que vous êtes - des alliés, à jamais. Il opine du chef, gare le véhicule. Tu ignores tes mains tremblantes sur le revolver. [...] Les sirènes hurlent de l'autre côté de la rue. Les clients de l'agence te supplient de poser l'arme, que tu braques sur eux, sur leur coeur. Certains rampent sous les meubles, les chaises, les tables basses, derrière le comptoir ; d'autres semblent figés, bouche fermée, yeux clos, convaincus qu'ils ne se sortiront pas de ce cauchemar. Je ne vous veux aucun mal, tu dis, dans un souffle à peine audible. Tu ne comprends pas pourquoi ton ami tarde ; il ne traîne jamais - surtout pas lorsqu'il y a des gens, à l'intérieur. Vous ne leur voulez aucun mal. Strictement aucun. Motivés par l'adrénaline, vous souffrez d'une dépendance comme à l'héroïne. Tu retiens une rouquine, une jolie poupée à peine plus âgée, une main sur sa taille élancée. « Je ne vous dénoncerai pas. Je vous le promets. S'il vous plaît. » Tu vacilles un instant sur sa requête, son intonation. Clare Fitzpatrick. Elle ne ment pas ; elle ne dira rien. Mais tu ne peux pas, étreint par la haine en voyant briller une pierre à son doigt. Tu l'as aimé, des années. Réciproquement. Elle t'a quitté - le temps d'un dernier baiser (tu te rappelles, ses lèvres goût cerise, son gloss porte-bonheur). Tu espérais des explications, avant. Elles ne t'importent plus, désormais. Parce que tu ne la laisseras pas revenir, fissurer le roc de ta poitrine. Elle ne ressemble plus à la fille du lycée - celle-ci que tu as aimé, qui s'engageait sur un bout de papier, en dessinant deux anneaux emmêlés (elle dessinait, toujours pour toi, des feuilles aujourd'hui brûlées, des cendres dans la cheminée). Tu murmures à son oreille, replaçant, derrière, une mèche de sa cascade soleil. « Tout va bien. » Elle frissonne sur cette note tendre, emmêle ses doigts aux tiens. Elle n'est plus froide. Elle n'a plus peur. Comme lorsqu'elle se blottissait contre toi, chaque nuit, effrayée par son mauvais rêve (le même, angoissant, hitchcockien). Tu recueilles une de ses larmes dans ta paume. Douceur rompue, retrouvailles éphémères. Trois policiers interviennent dans le bâtiment. Tu ne les écoutes pas, gardes Clare tout contre toi, relèves ton arme, la pointes au sommet de leur crâne. « Ne fais pas ça. » Elle chuchote. Tu l'ignores, soutenant le regard de l'un deux, dur, menaçant, l'index sur la gâchette. Il risque un pas. Clare sursaute au bruit de la détonation. Tu te perds dans la vision du corps inerte, de la flaque écarlate - le Glock tombe lourdement au sol. Tu souffles à Clare, au creux de son cou. « Je suis désolé. » Ton ami surgit, s'immobilise, le sac d'argent à la main. Un deuxième coup - d'un citoyen, paniqué, l'arme du mort replacé sur sa tempe. Client d'une banque, il se fait assassin. Tes jambes t'abandonnes ; tu ne voulais aucun mal. Et les événements s'enchaînent. Un troisième coup - un suicide. Tu ne peux pas rester, libères la jeune femme (ton aimée) de ton emprise, te saisis du sac - à moitié vidé dans la chute - et empruntes une porte de sortie, tout près, sans te retourner, dans une course effrénée. Personne ne te suit, pourtant. Tout va trop vite. Les chocs, Clare, les cadavres, les bambins. La tête te tourne. Qu'est-ce que vous avez fait. Ce n'était pas ça, le plan - ton plan. La partie se termine. Mais tu ne réclameras pas de revanche. C'est trop tard - trop noir.

✜ ✜ ✜---

boum, michiel, les hormones s'affolent (dan) ★ from a glimpse. 271347548

super choix de scénario au passage (dan) ★ from a glimpse. 2208596803

bienvenue !

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Mon amour, ma vie, mon homme à moi (dan) ★ from a glimpse. 1911199479

bienvenu et bon courage pour ta fiche. J'ai tellement hâte d'en savoir un peu plus sur lui (dan) ★ from a glimpse. 3675755751

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DAARIO (fangirling off) MICHIEL + LE SCENARIO DE MA BEST = j'approuve tellement nous faudra un lien obligé

bienvenue et bon courage pour ta fiche
si besoin, ~~je suis~~ le staff est à disposition

bienvenue et bon courage pour ta fiche

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ça va être terrible (dan) ★ from a glimpse. 299480679

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuue (dan) ★ from a glimpse. 1394386150

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Bienvenue et bon courage pour ta fiche (dan) ★ from a glimpse. 360574424

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Le moins que l'on puisse dire c'est que tu as fait une sacrée heureuse
Super choix de scénario et d'avatar

Bienvenue sur le forum & bon courage pour ta fiche

Bienvenue sur le forum ❤️

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je voudrais juste poster un petit message rapidement pour signaler que je valide cette fiche

si par hasard Dan la termine sans que je sois là, je donne mon accord à 100%
Tout est absolument parfait. Elle s'est approprié le personnage tout en gardant l'histoire de fond, elle a exactement la même vision que moi concernant la relation (nous en avons beaucoup discuté) et je suis amoureuse de sa plume. C'est mon Dan. I love you

Voilà

je retourne à mes rps

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L'avatar

Bienvenue !
Tu fais carrément une heureuse là, elle va finir complètement folle (dan) ★ from a glimpse. 3783754681

(bien qu'elle le soit déjà

)

oh mais le choix de fifou fan de Chris d'into the wild mais olala je suis trop fan.
bienvenue et bon courage pour le reste de ta fiche.

bonjour
il te reste deux jours pour finir ta fiche, n'hésites pas à demander un délai si besoin

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