| Sujet: We look the same from underneath Jeu 28 Mai - 11:09 | |
| Miles Xavier Ashworth "I never came across a spark worth faking I should have told you I never really had a heart for the taking Like a cartoon " ft. Luke Bracey ★ crédit@lbsource. nom: Ashworth un nom qu'il porte avec fierté même si l'histoire veut qu'il n'ait pas eu d'autre choix que de l'adopter. Celui que son grand-père maternel a bien voulu lui offrir, lui, enfant issu d'une union controversée, facilement élevée au rang d'incongruité. Ashworth - comme une bouée à laquelle il a toujours été accroché, une balise en eau agitée. Certainement pas entaché comme celui de l'homme qui aurait pu lui donner le sien. Celui qui est bien plus connu pour l'argent qu'il possède que pour la bonté de son âme. Ashworth, alors. sans prétention aucune. (Clancy, celui qu'il aurait dû porter)prénom: Miles. simple, court. Ça se retient facilement. Quand on l'écorche, il feint l'indolence, boue intérieurement. Impardonnable donc, d'oublier. Xavier. Les raisons pour lesquelles il porte ces prénoms lui échappent et peuvent continuer dans ce sens, il ne leur courra pas après. en clair : il s'en branle. (10 juin) âge et date de naissance: vingt sept ans. vingt sept temps. Pas d'arrêt que des prolongations. C'est être salement amouraché des délits qu'importe la forme qu'ils revêtent, trop pour s'assagir, pas assez pour se dire qu'un jour, il fêtera p't'être ses quatre vingt sept ballets - en grandes pompes. c'est l'espérance taillée au couteau qui se fait clairement la malle. lieu de naissance: dʊbəlɪn Irlande. même s'il a longtemps vécu dans un village paumé près de Kildare. et qu'il en tire toutes ses racines ( ou presque)statut: ses activités professionnelles l'empêchent clairement d'avoir une régulière. Le genre de relations qui perdurent dans le temps. Celles qui vont au delà des douze shots de vodka, du sourire niais adressé à la première poule croisée, aux râles abimés derrière les rideaux d'une chambre d’hôtel payée à l'heure. La perdition pérenne. N'avoir aucune attente particulière. Même s'il fut un temps où. Ce temps où. l'amour avait quelque chose de plus concret qu'un vers ou deux, dans un recueil prenant poussière sur une étagère. job/études: les finances. les finances frauduleuses, précisément. Puis, le vol, l’extorsion. Se mettre à la disposition de toute organisation crapuleuse pourvu que l'argent soit au rendez-vous. Être suffisamment intelligent, suffisamment talentueux puis, suffisamment lucide pour se dire que ça ne durera pas toute une vie. Un boulot transitoire. approximativement. Parce qu'on ne sait jamais ce que les lendemains réservent.orientation sexuelle: les femmes, leurs galbes séditieux. Leurs regards amènes, mutins. Leurs cambrures. la douceur de leurs peaux. leurs cheveux. tant de raisons qui posent la certitude. il ne s'en est jamais défait. groupes: (out). avatar: Luke Bracey
Sa mère qu'il appelle tous les jours, déformation de nature occulte, il essaye de ne pas passer pour le fils ingrat qui ne donne aucune nouvelle. Siobhan s'en contente, même si les hématomes qui ornent le visage de son fiston sont autrement plus éloquents que les mots qu'il semble garder pour lui. Partisan de l'économie de salive. - Son père, il n'en parle pas. Il l'a vaguement connu, toujours de loin. Un homme riche, avec une maîtresse et un enfant bâtard sur les bras. Le genre de scandale dont un polyvalent du monde des affaires n'a pas vraiment besoin. C'est la vie. qu'il se répète sans cesse, Miles, lorsqu'il croise le visage de cet homme placardé sur un mûr pour une quelconque campagne, à la une d'un journal. Les noms d'oiseaux, il les garde aux tréfonds. Il ne qualifierait pas ça d'une blessure secrète. Il s'en fiche de l'homme, de l'argent dont il aurait pu profiter, il se fiche d'à peu près tout, sauf des frères et soeurs qu'il aurait pu avoir, qui pourraient connaître son existence. C'est bête. C'est grossier. - Miles, il n'a pas de domaine de prédilection particuliers. Si certains dessinent, d'autres construisent, lui, il détruit. Il façonne. Il change les choses, il le fait à sa manière. Les trucs de poète, il sait pas comment gérer. Pourtant, il pourrait en citer, des beaux mots. Il pourrait en écrire, ça doit pas être bien dur si les écrivains pullulent. Mais, il préfère passer pour le gros con, celui qui n'aurait rien entre les deux oreilles. C'est faux, il le sait. Il joue sur les apparences pour mieux tromper son monde. Mieux prospérer là où les ressources se révèlent être arides. - Il a grandi en Irlande, près de Kildare, chez son grand-père. Il tenait une auberge dans lequel il y avait un pub où tous les roublards du coin se réunissaient en buvant quelques pintes. Sa première guinness, il l'a bu à douze ans, planqué dans la remise. Il a vomi toutes ses tripes en essuyant la gueulante de son grand-père tout en se jurant de ne plus jamais boire. Bien évidemment, il recommença trois ans plus tard mais, cette fois-ci, son foie apprécia le geste, son estomac aussi. - Ce n'est pas un kidnapping. D'accord ? C'est simplement un périple, un rite de passage, un contre-temps. Simplement deux individus qui ne se connaissent ni d'Eve, ni d'Adam, forcés de partager un petit bout de chemin jusqu'à ce qu'une solution pointe son nez. Pas de quoi informer la police ou. De toute façon, il s'est arrangé pour que le départ précipité de princesse pilou n'ait rien d'étrange - Miles, il raffole des tartes ( pommes, fruits rouges) , il en mange une tous les soirs. Une habitude qui suscite pas mal d'interrogations. D'autant qu'il est diabétique et insulino-dépendant. C'est ce qu'on appelle jouer avec le feu. Tant pis, il n'aura qu'une seule vie, aussi, il se voit bien l'user jusque la corde.
“ People empty me. I have to get away to refill. Notting Hill, Londres
« Plus facile à dire qu'à faire, je te signale » - crache Dumbley, l'associé qu'il préférerait savoir six pieds sous terre. Boulet olympique qu'il se traîne depuis qu'un enfoiré ayant les poches bien pleines en a décidé ainsi. Miles lui jette un regard où la perplexité s'y lit, gravement. L'agacement vient aussitôt remplacer ladite perplexité lorsqu'il se rend compte de quoi il en retourne. Une énième preuve du niveau de connerie, certainement congénital, de son « acolyte » de fortune. Une énième preuve du fait qu'il est bien plus efficace seul qu'accompagné de cette énergumène. Miles considère quelques secondes les options qui s'offrent à lui, caresse l'idée d'assommer Dumbley. Fraction de seconde et, il lui envoie son poing en pleine tronche, ne manquant pas de le mettre hors jeu. Suffisamment pour qu'il entre dans l’hôtel particulier indiqué, qu'il s'arrange pour embarquer le paquet qu'on lui a demandé de récupérer. Sans scrupule, il laisse le corps inanimé de son boulet et s'éloigne furtif, dans la nuit noire, suivant les ombres des arbres qui se découpent. Persuadé que sa dextérité suffira à accomplir la mission le plus rapidement possible, sans qu'il n'y ait de couille qui ne vienne tout foutre en l'air. Penser que la chance se penche enfin de son côté. Si la chance l'a à la bonne ? Il court, Miles. Il longe la façade ouest, se fraye un chemin sur les dalles qui mènent à l'arrière de la batisse. Il s'accroupit sous la fenêtre, en brise la vitre, il s'arrange pour étouffer le bruit. Autant dire, l'expérience l'aide, tout est pensé, tout est toujours murement réfléchi, Miles, habile jusque dans sa manière de boire un verre. Il se tortille, s'engouffre dans l'ouverture qu'il a réussi à créer. A l'intérieur règne l'odeur des pots pourris dont les riches raffolent. Le constat lui tire un rictus de profond dégoût. Si l'alarme n'a pas résonné, c'est parce qu'il s'est arrangé pour la faire taire. Il avance, prêt à s'emparer du vase Ming qu'on l'a envoyé subtiliser. « Vous faites quoi ? » - je vole un vase, c'est évident. Miles s'immobilise, il donne le dos à la voix féminine qui retentit dans la maison (qui pourtant était plongée dans un silence de mort.) Il se dit que, la courageuse aurait mieux fait de ne pas se faire remarquer. Il doit agir. Lentement, il se retourne, des fois qu'elle pointe sur lui un flingue. Rien. Rien qu'une silhouette planquée sous un pyjama en pilou.«J'vous conseille de reposer le vase là où il se trouvait » - elle siffle entre les dents. « Je ne pense pas que vous soyez en position de me conseiller quoique ce soit, étant donné que des deux, je suis celui qui tient une arme ». Il en profite, Miles, pour agiter le glock qu'il a réussi à tirer de sous son pull ( simple précaution). Il voit, la fille déglutir, les yeux ronds. Terreur ? - Surement. « J'aurai mieux fait d'la fermer, putain » - elle marmonne, paniquée. Pas de sa faute, elle s'est sentie pousser des ailes. Pas de sa faute si elle n'a jamais eu la langue dans sa poche. Mais, elle n'est que gardienne, arroseuse de plante verte professionnelle. Merde, ils avaient dit qu'la baraque était protégée par une alarme, elle songe, le cœur au bord de l'exvulsion. Et s'il me tue ? S'il me viole ? S'il...oh, non. Miles, il aurait dû s'en douter, après tout. C'est Dumbley. Dumbley qui aurait dû remarquer la présence de princesse pilou au moment où il était censé faire une reconnaissance des lieux. Dumbley, l'idiot qui pionce à l'arrière d'une fourgonnette à quelques mètres de là. Et Miles il sait déjà , depuis des lustres, qu'il doit penser à tout. Une erreur. C'est comme ça qu'il la qualifiera, princesse pilou, erreur de parcours.
[...] « Tu m'as assommé ! Assommé ! Lorsqu'le boss saura... » - le regard de biais qu'il se reçoit suffit à lui faire fermer sa grande gueule. Miles est au volant, tandis que Dumbley se tortille, une bouteille froide entre les mains, l'appliquant de temps à autre sur son visage. « Personne n'aime les balances, Dumb » - siffle Miles, le regard droit devant, une longue bande grise serpente entre les bocages. C'est la nature qui reprend les rennes tandis que les tas de bétons et les playmobiles s'éloignent, derrière. « J'te dépose au croisement, comme prévu, ils viendront te récupérer. C'est la dernière fois qu'on travaillera ensemble... » - et heureusement. Pour subir les chouineries de monsieur, il faut une patience pontificale. S'il la possède, Miles, Dumbley l'assassine par sa seule présence. « Et il s'est passé quoi, dans la maison ? ». Il se mord l'intérieur de la joue, minimise toute réaction physique. « Pas grand chose, le vase était là, c'était presque trop facile ». Presque. Le bon mot pour nuancer. Ces anglais, inutiles. « Chouette, j'espère que la fourgonnette sera désossée ». Deux kilomètres plus tard, Dumbley descend, dans ses bras, un vase soigneusement emmailloté. « A un d'ces quatre ! ». Certainement pas, pense Miles, se contentant de lui sourire, démarrant aussitôt. Il parcourt environs dix kilomètres avant d'immobiliser la voiture louée sur le bord de la route. Il descend, ouvre le coffre. « Vous comprenez bien que je n'avais pas d'autre choix ? ». Elle hoche la tête, princesse pilou, ballonnée, ligotée. « Je vais vous détacher. J'escompte que vous vous comportiez docilement. N'oubliez pas que j'ai une arme et, que je n'hésiterai pas à m'en servir ». Il sort un cutter de la poche de sa paire de jeans. « N'essayez pas de me poser des questions. Ni même de m'amadouer. Je ne sais pas ce que l'avenir nous réserve, pas plus quel temps il fait là où nous nous rendons mais, une chose est sûre, votre joli pyjama risque de ne pas suffire » - un sourire en coin sur ses lèvres, des pommettes rosies sur le visage de princesse pilou. Il la détache, arrache d'un coup sec le ruban adhésif. Miles il n'a pas réfléchi, c'est bien la première fois de sa vie. La première fois, la dernière ou pas. Hâté par le temps. Il se dirige vers la première destination qui se profile. pseudo/prénom: pas de pseudo. âge: . pays: celui de maïté. fréquence de connexion: souvent (en fonction des examens,quoi) où as-tu connu le forum? zzartba t'en penses quoi? ça, j'achète ( j'espère que mon avatar (rare) ne rebutera sonneper) - Code:
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<taken>luke bracey</taken> ≈ <pseudo>miles ashworth</pseudo>
Dernière édition par Miles Ashworth le Sam 30 Mai - 12:56, édité 26 fois |
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Jamie Daniels YOU ARE A ROMANTIC › date d'arrivée : 27/05/2015 › textos envoyés : 594 › célébrité : harry styles, baby face aux cheveux de princesse. › crédits : avatar, anaelle. gif, tumblr. signature, julia bb. › pseudo : joséphine, josée, jojo, jo.
| Sujet: Re: We look the same from underneath Jeu 28 Mai - 18:23 | |
| joli monsieur bienvenue ! |
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