obscène éternité.

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léonor parrish

"on fourre l'amour, le palpitant mort. "
ft. dudley o'shag that god. ★ crédit@fuckyeahdudleyo-shaughnessy/tumblr.

nom: parrish, as in perish, his curse. un patronyme officiellement innocent, officieusement souvenir d'une famille aux vieux mœurs magiques. souvenir que la branche restante s'efforce d'effacer. prénom: peu sont ceux l'interpellant autrement que leo. cependant, léonor, léo au nord, le vieux lion, des syllabes oubliées de la langue moderne. voilà son vrai nom, à user avec précautions. âge et date de naissance: il a marché vingt-six années, où il est tombé, où il s'est accroché, où il s'est sauvé. et parfois, quand sonne un autre quatre février, il espère voir fleurir une autre plante que celle de mari (stoned people will get it). lieu de naissance: l'indomptable nouvel-orléans, avec ses jeteuses de sorts et ectoplasmes vibrants même dans son oxygène. une terre de vaudou, où il fut bon s'échapper, avant de sombrer dans sa douce folie. statut: hopeless romantic dans l'âme, constante solitude dans son cœur insensible depuis toujours aux diverses caresses. condamné à ne pas trouver l'amour, célibataire est son sombre titre. job/études: il s'est approprié un salon de tatouage titré voodoo ink. lui-même un maître de l'encre, il s'est aussi sacré médium pour attirer la clientèle et les billets verts. orientation sexuelle: le fracas de deux corps identiques, c'est ce qui allume ses cellules déréglées. elles sont belles, les douces avec leurs courbes d'anges, mais pas assez pour l'homosexuel. groupe: à défaut, à mieux, he called it out. avatar: dudley o'shaughnessy, tha bomba.

leo, il a fuit le nouvel-orléans et toute ses conneries, mais reste dans son adn quelques tâches de sale magie. alors il joue avec ses origines, amène quelques facettes de là-bas dans son salon. en échange d'un montant, les cartes sont tirées, les lignes de la main sont mises à nues, et il est même possible de devenir propriétaire d'une poupée voodoo. on raconte qu'y épingler une possession, rend son propriétaire sensible aux tortures faites sur elle.
léonor, son plus beau talent, sont les trâces noires qu'il laisse sur les toiles blanches. son art est apprécié, pour son bonheur puisqu'il adore laisser sa marque sur les corps autrement purs.
leo, il rugit, avec sa grande gueule et son manque d'inhibition, est le genre qu'on aime ou qu'on déteste. une franchise presque gênante, un humour douteux, une intelligence déjantée. une personnalité de rose aux épines camouflées, puisque sous son bonheur constamment affiché, se cache une marre mystérieuse de secrets égarés.
léonor, l'agneau, est marqué par ses yeux d'enfants effrayés. il ne le dit jamais, c'est une honte paralysante, que d'avoir peur des monstres. il sait qu'ils existent que dans l'irréel, et pourtant le voodoo shit a laissé une marque prononcée. il regarde sous son lit, ne laisse jamais un garde-robe ouvert, verrouille ses portières et surveille la banquette arrière. subtilement, comme le faible faisceau de lumière qui brille la nuit dans son petit chez lui.
leo, il est fidèle à la belle marijane et ses cousines goûtant le tabac et le menthol. il aime calmer son cerveau surchauffé en glissant sa douce amie entre ses lèvres assoiffées. peu importe ce qu'il fume, toutefois, il s'assure de tuer les mauvaises odeurs en abusant de mesures hygiéniques.
léonor, il n'a aimé qu'une fois, une tragédie d'adolescents de quinze ans. crise d'identité sexuelle, l'autre qui reprend raison, le regarde comme un monstre. cauchemar enfantin, un de plus dans sa tête déjà perturbée. gamin, il n'a jamais voulu s'en remettre, repoussant inconsciemment chaque future relation.
leo, son rêve secret, celui qu'il s'est un jour juré de révéler qu'à the one, c'est son inconditionnel envie d'être papa. le désir qui lui écrase les entrailles d'élever une marmaille dans un environnement normal, sain. offrir à des bambins l'enfance qu'il s'est fait arracher.
léonor, le généreux, le loyal. être aimé jusqu'au ciel par ce garçon, c'est d'être riche d'or. il ferait tout, le lion, pour ceux qu'il aime. il donne, parfois trop, souvent avec maladresse. mais il sera toujours là, avec ses conseils à deux balles.
leo, il doit quelques fois faire face à des bulles d'obscurité, souvent déclenché par un flash du passé. il reste rarement faire la conversation, préférant devenir ermite le temps que l'opaque voile ne le laisse respirer à nouveau. si la solitude est meilleure pour lui lors de ses désagréables voyages, c'est également parce que ses émotions prennent le dessus, et qu'il lui arrive de perdre le contrôle. oh, sweet misery.
léonor, ses parents, ils se sont envolés alors qu'il était encore un gamin. jamais ils ne sont revenus, une vie évaporée et une descente aux enfers. c'est les grands-parents qui ont pris les bambins dans le confort de leur folle maison. oh, comme la mamy s'est amusé avec les petits, brisant irréversiblement l'âme de leo. merci à la tante, qui a enfilé la peau d'un super-héros pour leur offrir un foyer sain, normal.

pseudo/prénom: parfum. âge: perdu entre vingt et vingt plus cinq. pays: canadienne. si, c'est un pays. fréquence de connexion: autant que ma vie le permet. où as-tu connu le forum? top 50 the obsession. t'en penses quoi? j'ai l'coeur et l'âme charmé. ton perso est un scénario, inventé ou un lien ? un pauvre inventé, inspiré par la soeur.

Code:: <taken>dudley o'shaughnessy</taken> ≈ <pseudo>leo parrish.</pseudo>

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welcome to the jungle
Ce sont les âmes mortes qui l'agace, qui l'effraie. Il essaie de devenir sourd, d'oublier les chants étranges avec lesquels sa grand-mère s'étrangle. L'air vacille et étouffe, des yeux noirs et rouges qui se montrent et se cachent. Les monstres réels, tangibles, les esprits transparants, effrayants, ils sont tous ici en même temps. La vieille qui chante de plus en plus fort, les imprudents et naïfs clients qui tremblent dans le coin. Il rugit, il pleure, il rale et il hurle. Et alors que l'odeur putride des encens lui monte au nez, il vomit une matière couleur jais. La fin du rituel, le temps de repos qui enlèvera tranquillement la brume de son esprit traumatisé.

Au loin flotte une ombre foncée, laissant Leo s'effrayer et brusquement se retourner. Avec un soupir découragé, il remarque que l'ombre n'est que la sienne, perdue sur le coin d'un mur. Il s'allume une cigarette pour calmer la danse frénétique de son palpitant, avant de finalement reprendre sa marche vers son appartement. Il en a marre, le lion, d'être nerveux de rien, de ce qui n'existe pas. Il a simplement hâte d'arriver chez lui, de prendre quelques bouffées de mari, histoire de se décompresser totalement. Sa solution miracle, sa crème magique, c'est toujours mari, pour lui enlever cette pression qui lui barre toute trace d'intelligence. L'éternité n'a rien arrangé, Brighton n'a rien arrangé. Il est encore perturbé, il cauchemarde encore après des années. Aujourd'hui, maintenant, ça l'énerve, sa patience est mince, trop mince. Il frappe dans un déchet qui a eu le malheur de se trouver dans son chemin, l'observe alors qu'il roule et sombre dans les égouts. Léonor, l'enfant sauvage, l'enfant fantôme. L'enfant brisé, brûlé, si bon acteur quand il laisse s'envoler toute trace de victime. Il refuse qu'on le prenne en pitié, qu'on lui demande ce qu'il a traversé. Même avec Leah, il n'y arrive pas, pas vraiment. C'est dur, trop dur, et il ne sait jamais comment ça va se terminer. Il se souvient de la dernière fois, quand il a paniqué, quand il s'est trop souvenu, jusqu'à ce que cette vague de sombres souvenirs l'envahissent, qu'il hallucine à nouveau. Sa gorge s'est déchirée, ce soir-là, à force de crier. Ses mains, coupées, cruelles, alors qu'elles lançaient ce qui lui tombait sous la main. C'est la dernière fois qu'il l'a vu, lui. Il ne se souvient même plus de son nom, c'est sans importance, Leo est sans importance. Troublé, affecté, un simple marcheur dans la nuit réconfortante. Ou presque, si le lion arrive à oublier, tous les monstres cachés à côté. Leo, Leo, Leo, où est ta fin, si tu refuses de tourner la page?

Les cartes tombent une à une, leur interprète usant de sa voix mystérieuse, gracieuseté di nouvel-orléans, pour lire les prédictions qu'elles dessinent. Les deux gamines gloussent, et il leur offre un sourire tordu. The magic has spoken, girls, may you use the words of the dead wisely, qu'il conclut sur le même ton, avant de s'élever lentement. Quelques minutes plus tard il salue ses deux jeunes clientes, aux coeurs possédés par le naïf espoir. I can't believe you can pull this shit, annonce l'employé avec un rire dans la voix. At least I can make something of my crazy family, qu'il répond à travers son sourire joueur. Une vérité simple et compliquée, son plaisir et sa malédiction.

So, if I win, you'll finally say yes to a diner at my place? que le taquin policier demande, un nouveau verre à la main. Un rire s'échappe de la gorge du noir lion, accompagné de la pige d'une nouvelle carte. Without anybody knowing, right? Un officier de la loi et un con un brin rebelle, une danse macabre d'une attirance au placard. Right, que l'hétéro répond, visage impassible. Là git l'ironique problème, le chasseur d'amour refusant d'avouer son attirance pour un autre Adam. Toutes les Eve à qui il écarte les cuisses, essayant d'oublier les durs traits de Parrish. You lost, again. And again, I'm not sorry, se ravit le petit prince, avant de quitter la table sans un regard en arrière. Leo, il s'éclipse parce que son cœur est mieux protégé ainsi, quand l'autre ne vient le voir qu'après avoir trop ingéré d'alcool. La tempête qui explose dans la tête de l'agent quand il dégrise finalement. Leo, il ne peut pas, il a déjà vu trop de démons.

bienvenue par ici. dudley, il est beaucoup trop cool.

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t'es beau je viendrais sûrement croquer un petit bout

bienvenue officiellement, hâte de lire cette fiche qui promet et si besoin ~~je suis~~ le staff est à ta disposition

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ACE. fuck, irons. merci, belle gueule.

ISMAËL. tu vas voir, tu vas vouloir une deuxième assiette. merci, j'espère effectivement que le lion te plaira. promis, j'viendrais cogner à la moindre accroche.

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Ce choix d'avatar, je suis fan obscène éternité. 2820356534

Bienvenu et bon courage pour ta fiche obscène éternité. 2674354011

comme l'a dit Ismaël, si besoin on est là obscène éternité. 3675755751

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je ne connais pas la belle, mais elle ressemble à un coeur. et merci, merci dix fois. j'en prends sérieusement note, madame.

Bienvenue ici! obscène éternité. 271347548

han, il est trop cool dudley
bienvenue ici

Bienvenue sur New Romantics ❤️❤️

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Bienvenue sur NR chou et bon courage pour ta fiche obscène éternité. 618922570

bienvenu parmi nous bon courage pour la fiche

ce choix d'avatar

bienvenue et bon courage pour ta fiche

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Quel choix d'avatar absolument parfait! obscène éternité. 3161760286

Bienvenue parmi nous, et rien que de lire le début de ta fiche, c'est un délice pour les yeux, tu écris tellement bien! obscène éternité. 3988111446

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Owaiii, Dudley ! obscène éternité. 4116030990

Je me demandais quand je le verrai être joué, il a une chouette bouille.

Bienvenue parmi nous, et bonne chance pour ta fiche ! obscène éternité. 2278813003

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche :)

donc voilà le big bro de leah.

bienvenue ici, dudley est magnifique, je kiffe ce gars. obscène éternité. 1254638934

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Welcommmmmmmme obscène éternité. 3923309227

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oh woah, ce déluge d'amour, c'est bon.

alyssa, sian, april, lyla, sweton, ariel, caleb, théodore. merci mes sublimes.

JENSEN. ce choix de prénom. et merci, t'es le meilleur des sucres d'orges, avec ce compliment de feu.

GILCHRIST. ton pseudo en jette. oh, et c'est combien si j'avais été attendu, du coup. merci.

NOA. l'arrache-coeur de ma tendre soeur. toi et moi, on aura pas le choix de se forger un lien. et merci.

boum, testostérone obscène éternité. 2208596803

j'ai tellement hâte de lire le reste de ta fiche et de voir l'influence de la nouvelle-orléans dans l'histoire de ce petit. bienvenue !

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hé, un autre dieu du dessin sur les corps humains. cesse de plaisanteries, merci m'sieur, j'espère que le reste te plaira dans ce cas.

j'aime beaucoup le personnage et ta façon d'écrire aussi, c'est très poétique
je te valides avec plaisir; amuses toi bien parmi nous

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merci, monsieur cupidon, c'est bien gentil.

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