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| (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun | |
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Casey Bradsburry YOU ARE A ROMANTIC › date d'arrivée : 31/05/2015 › textos envoyés : 44 › célébrité : cintia dicker. › crédits : avatar - tearsflight. › pseudo : everdeen.
| Sujet: (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun Jeu 18 Juin - 23:37 | |
| tobias lawton
"the whole world’s sitting on a ticking bomb so keep your calm and carry on" ft. kit harrington ★ crédit@tumblr.
nom: lawton, pour le besoin du scénario. prénom: tobias, aussi pour le besoin du scénario. âge et date de naissance: au choix, entre vingt-cinq et trente ans. lieu de naissance: au choix, mais pas à brighton. statut: au choix, célibataire correspond le mieux, mais pourquoi pas veuf. job/études: au choix pour le passé, mais désormais voleur émérite d'objets précieux, pour toute filière frauduleuse qui aurait de l'argent à lui proposer. bien que talentueux, il reste un simple exécutant, ce qui lui permet d'accepter ou non les missions, lorsqu'il estime notamment que les acolytes qu'on lui colle ne sont pas trop stupides. orientation sexuelle: hétérosexuel.
everything about you ≈ Tobias sait bien qu'il ne pourra pas voler toute sa vie, il n'est pas du genre à vivre d'illusions, mais les lendemains sont inconnus, et il ne voit donc pas les planifier. Un jour, peut-être qu'une occasion lui tombera dessus et il lui offrira quelque chose qui l'intéressera vraiment. Mais jusque là, il se fait assez d'argent pour vivre confortablement, payer ses shots après un casse avec un associé étonnamment appréciable, ou encore des verres aux filles dont il sait pertinemment qu'elles finiront dans son lit. Et puis, il est plutôt doué dans ce qu'il fait, et c'est probablement une des rares choses où il s'est trouvé être un des meilleurs. Alors, même s'il est extrêmement réfléchi, prévoyant, et incroyablement calme au point que son rythme cardiaque ne dévie presque jamais lors de ses missions, il s’ennuierait clairement dans tout autre boulot, et n'est pas de ceux qui se forcent à faire quoi que ce soit. Ce n'est pas qu'il recherche de l'adrénaline, des frissons, du risque, ou qu'il se croit bon à rien, mais plutôt qu'il tient à une marge de liberté, toujours.
≈ Tobias est loyal, au fond, mais il n'a aucune relation suffisamment durable pour avoir besoin de faire preuve d'une quelconque loyauté. Son boulot le faire bouger, au gré des opportunités, et il y a bien longtemps qu'il a abandonné l'idée d'entretenir des amitiés. Ou peut-être une, ou deux, mais toujours basées sur les mensonges qui construisent sa vie. Quand aux femmes, il les aime inlassablement, mais brièvement, le plus souvent après quelques verres, dans une chambre qui n'est pas la sienne.
≈ En soi, l'histoire est totalement libre. Le lieu où il a grandi, la situation familiale, les frères et sœurs, etc. Je le verrai davantage dans le groupe out, il ne cherche pas l'amour, c'est bien trop abstrait pour lui et il ne voit pas bien ce que ça lui apporterait dont il puisse avoir besoin. Après, soit ça a toujours été le cas, soit il a connu une (très) mauvaise expérience qui l'en a éloigné. Mais dans tous les cas, ça n'est pas un mec blessé qui se refuse aux sentiments. Au contraire, il ne les rejette pas, mais il n'est naturellement pas de genre à en avoir. Ça ne veut pas dire qu'il ne tient pas aux minimum aux filles qu'il voit, ou parfois même revoit lorsqu'il les a appréciées. Mais ça ne sont pas des sentiments durables. Il se refuse aux attaches, non pas pour ne pas souffrir, mais parce que ça l'empêcherait de faire ce dont il a envie et de partir, du jour au lendemain, ailleurs. Il est froid, franc, mais pas méchant. Ne m'en faîtes pas une brute qui s'est réfugiée dans la violence et la drogue pour échapper à une famille déstructurée, ou je ne sais pas quoi. Il n'est pas indifférent, ne se pense pas supérieur aux autres. Il se plaît juste assez à être seul, autant qu'à bosser seul. Il aime faire les choses bien, ce qui lui plaît, à sa manière. Il est assez taiseux, ne s'étend pas en long discours, et encore moins sur ses émotions. Je ne vois pas quelle passion lui attribuer, ni même si cela est nécessaire, mais si vous avez une idée cohérente, faîtes vous plaisir.
casey bradsburry, long nights
- extrait de ma fiche:
Ce soir-là, elle gardait une grande bâtisse de Notting Hill, un petit job supplémentaire que lui avaient trouvé ses parents le mois précédent, puisque la maison appartenaient à des amis. En soi, elle n'avait rien à faire, et était quasiment payée juste pour dormir là-bas. En y réfléchissant, ça devait être le job qu'elle préférait. Être seule dans une telle maison ne lui faisait pas peur. Ce n'était pas dans ses habitudes d'angoisser lorsqu'il n'y avait pas de raison particulière de le faire ; et puis, on lui avait bien confirmé que la maison était de toute manière dotée d'une alarme. Sa présence n'était pas vraiment requise, mais c'était une sécurité supplémentaire que les propriétaires avaient les moyens de s'offrir. Tant mieux pour elle, elle avait envie de dire. Elle n'arrivait pas à fermer les yeux, comme cela lui était déjà arrivé ces derniers mois, et ne cessait de se retourner dans son lit. Le plus souvent lorsque son esprit était encombré, ses pensées allaient vers ex petit-ami, ex-ami, auquel elle n'avait plus adressé la parole depuis la fin de leurs études. Il n'avait pas tenté de revenir vers elle, depuis qu'elle lui avait fait comprendre que tout était gâché, puisqu'il ne pouvait contenir ses sentiments pour elle mais était incapable de lui offrir une vraie relation. Elle avait pris la bonne décision, aussi difficile fût-elle. Mais certaines nuits, des remords venaient encore l'assaillir. Consciente qu'il fallait qu'elle se change les idées pour trouver le sommeil, elle se leva pour se diriger dans la cuisine où elle laissait régulièrement ses propres provisions. Rien de mieux qu'une sucrerie pour panser n'importe quelle blessure. Soudain, elle entendit une sorte de craquement dans la pièce d'à-côté, et ne put s'empêcher de s'arrêter, tous les sens en alerte. Son cœur n'avait pas raté de battement, mais ce bruit était suffisamment singulier pour attirer son attention. Elle fit demi-tour et se dirigea sur le pointe des pieds vers la source du bruit, sans imaginer une seconde que cela puisse être dangereux. Mais elle voulait juste vérifier. Alors, lorsqu'elle l'aperçut de loin, son cœur manqua un battement, cette fois. Il n'était certainement pas bien intentionné, et pourtant, elle ne pouvait pas rester là à rien faire ; il finirait pas la voir, de toute façon. Casey avait tendance à puiser dans son stress pour parfois tenter ce qu'elle n'aurait pas osé tenter en temps normal. Ainsi, ce fut de manière clairement irréfléchie qu'elle ouvrit la bouche après avoir vu l'homme soulever un vase dont elle ne savait même pas qu'il valait le coup d'être volé. « Vous faites quoi ? J'vous conseille de reposer le vase là où il se trouvait ». A peine a-t-elle terminé sa phrase que l'horreur lui monte aux yeux, maintenant qu'il s'est retourné vers elle. Un flingue. Elle a beau avoir appris à maîtriser sa peur, à se dire que de toute façon il faut bien mourir de quelque chose et donc profiter de vivre tant que l'on peut, là, elle voit pour la première fois le voile du néant mortel se profiler devant elle. Elle roule des yeux affolés, tandis que la scène s'accélère sous ses yeux. L'homme passe le vase sous son bras, le remplace par un autre, puis s'approche d'elle. L'idée qu'elle porte un pyjama en pilou proprement ridicule ne lui traverse même pas l'esprit, alors que cela devrait presque. Elle est pétrifiée, parce qu'elle sait que courir ne servirait à rien et aggraverait sûrement son cas. Du fond de son cœur, elle espère que l'homme va se contenter de l'intimider, pour qu'elle promette de ne rien répéter, puis la laisser partir saine et sauve. Elle espère, mais quelque chose lui dit que ça ne peut pas être si simple. C'est la réalité, pas un film policier où les méchants ont suffisamment de cœur pour laisser partir les jeunes filles innocentes, mais pas assez pour ne pas flinguer les policiers à leurs trousses. Dans la réalité, elle va certainement crever. Et tout ce à quoi elle peut penser, c'est aux milliers de choses qu'elle regrette de n'avoir pas encore vues, pas encore faites. Elle se laisse entraîner sans rien dire. Elle n'est plus que peur et attente, tandis qu'elle imagine des tas de scénarios tordus dans lesquels elle n'en sort définitivement pas vivante. Cette sensation de n'avoir aucune contrôle sur une situation pareille la déstabilise, la perd. Elle se contente d'être docile, de répondre aux sollicitations de l'homme, priant pour qu'il ait pitié de son regard hagard. Les minutes passent, interminables dans ce coffre bien trop petit. Enfin, de la lumière se profile et la silhouette noire se dessine à nouveau, dans la lueur naissante du jour. Et, contre toute attente, il la détache. L'explosion de surprise dans l'esprit de Casey est telle qu'elle esquisse même un sourire. L'homme ne semble pas décidé à lui faire de mal, et surtout : elle est vivante. Même si c'est bien la seule certitude à laquelle elle peut désormais se raccrocher, cela lui suffit amplement pour l'instant. ❋ ❋ ❋ Les jours, les semaines s'écoulaient, et Casey sentait un sentiment étrange naître en elle. Au début, elle vivait dans un relent de peur constant, à l'idée qu'elle avait beau être vivante pour l'instant, cela ne voulait pas dire que son geôlier n'allait pas changer d'avis d'une minute à l'autre. Et puis, peu à peu, alors qu'il avait desserré son contrôle et prouvé qu'il ne lui ferait aucun mal tant qu'elle se montrerait docile, elle s'était prise à se trouver attirée par cette vie menée sans connaissance ou même idée du lendemain. Pour la première fois depuis bien longtemps, elle n'avait pas d'impératif, pas d'étude, plus de boulot, pas d'amis sur place, ou encore pas de famille à aller voir quotidiennement depuis qu'elle leur avait annoncé - sous la contrainte, et dans un bien beau et crédible mensonge - qu'elle partait pour Brighton où elle avait enfin trouvé une place dans un cabinet. Elle aurait dû se morfondre dans cette vie trop plate, trop seule, où elle n'était parfois que peu indépendante, et pourtant elle y ressentait un goût d'interdit qui s'était ancré en elle. Elle avait repoussé très loin tous les tracas et doutes quotidiens dont elle était la cible, et vivait dans l'instant, avec cet homme dont elle ne savait rien mais avait appris, paradoxalement, à connaître. Les rares fois où elle tentait d'analyser objectivement la situation, elle se prenait pour une folle, et voyait bien qu'il s'agissait là d'une situation insensée qui ne pourrait pas durer. Mais ces instants volés lui donnaient étonnamment l'impression d'une liberté sans limite, là où elle n'avait pourtant jamais été aussi enfermée. Tout ce qu'elle craignait, c'était les échéances familiales, telles que la future naissance de sa nièce, qui la rappelleraient à Londres, et dont elle ne savait toujours pas comment elle allait s'acquitter. Ni si elle le voulait vraiment.
Deux mois auparavant, Tobias avait pour mission de voler une vase précieux, et s'est retrouvé nez à nez avec Casey, alors que la maison était supposée être vide. Ne pouvant prendre le risque qu'elle le balance à qui que ce soit, il l'a embarquée avec elle. Sur le coup, il ne savait même pas vers où, ni même pourquoi, ou comment il allait se débrouiller avec ça. Rare qu'il ne réfléchisse pas, Tobias, et pourtant, Casey a perturbé son plan bien rôdé et l'a obligé à s'aventurer dans un territoire qu'il ne connait pas bien.
Depuis, il a loué une maison en ville pour eux deux, suffisamment bien cachée par les arbres pour que personne ne remarquent leurs manèges bizarres. Casey vit sous la contrainte, et pourtant, cela n'y ressemble plus vraiment, même si Tobias garde en permanence son arme sur lui et enferme la jeune femme la nuit, pour qu'elle ne s'enfuie pas. La méfiance s'est peu à peu effacée. Aucun ne sait comment cette situation va évoluer, ni comment Casey va pouvoir donner le change à sa famille encore longtemps si elle n'est pas autorisée à aller les voir. Mais pour l'instant, il se contente de la suivre nonchalamment lorsqu'il l'autorise à sortir et à se balader dans la ville. Elle croit même qu'il ne la suit plus, mais il est toujours là, à jeter un œil au cas-où. Ça n'est même plus pour éviter qu'elle parle, de toute façon, il a bien vu à maintes reprises qu'elle-même n'avait pas l'idée de révéler quoi que ce soit. Sa légèreté le fait sourire. Presque autant que leurs mensonges, leurs vies sans cesse réinventées, lorsqu'ils sortent tous les deux et se doivent de servir une histoire convaincante à ceux qui les entourent. Leurs échanges d'invectives sont la seule réalité qu'ils partagent, les rares fois où ils ne sont pas entourés par les mensonges. Et c'est dans ces instants comptés qu'ils apprennent à se connaître, pourtant encore et toujours étrangers.
Dernière édition par Casey Bradsburry le Sam 4 Juil - 15:11, édité 2 fois |
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Casey Bradsburry YOU ARE A ROMANTIC › date d'arrivée : 31/05/2015 › textos envoyés : 44 › célébrité : cintia dicker. › crédits : avatar - tearsflight. › pseudo : everdeen.
| Sujet: Re: (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun Ven 19 Juin - 0:08 | |
| Si tu n'es toujours pas découragé par la lecture, en voici un tout petit peu plus C'est pour le bien de nos deux fugitifs
PSEUDO ≈ Tout à fait négociable. J'ai mis celui-ci car je l'aime bien, mais il n'est pas obligatoire. J'aime bien les prénoms "normaux" (c'est-à-dire, sans trois millions d'accents, et prononçables) mais quand même assez peu entendus, voire originaux. Plutôt courts, de préférence. Si vous avez besoin d'idées, yé souis là, j'en ai tout un stock Pour le nom, je n'ai pas de préférence, mais je peux aussi vous donner des idées.
AVATAR ≈ Quand j'ai commencé à écrire le scénario je n'avais pas d'idée définie, et j'ai mis Kit un peu au hasard parmi tous mes choix, mais après réflexion (et surtout GOT ) je l'imagine vraiment bien dans le rôle Mais si vous ne pouvez pas le supporter, c'est également négociable (même si je me permets un petit droit de veto), tout ce que je demande étant un mec dont la tête puisse possiblement passer pour celle d'un criminel J'ai pensé à d'autres avatars (vous remarquerez que ce sont tous des bruns, faut croire que j'imagine que les criminels sont forcément bruns ) : Jake Gyllenhaal, Daniel Sharman, Jamie Dornan, Nathaniel Buzolic... A vérifier lesquels sont libres, par contre.
LIEN ≈ La base paraît peu modifiable, vu qu'elle est liée au "kidnapping". En revanche, étant donné que vous pouvez tout à fait vous approprier le personnage (et c'est d'ailleurs ce que je souhaite, car à la base je suis moi-même le scénario de ce personnage, mais son ancienne joueuse n'est plus là ; donc je ne cherche pas à reprendre le personnage tel quel, mais avant tout le lien avec Casey), le lien pourrait donc se moduler selon ce que vous faites du personnage. Je n'ai honnêtement pas une idée fixe de l'évolution de ce lien, mais j'ai déjà quelques idées de rp qui nous permettraient de faire évoluer ça à deux Donc si vous avez des idées, pour le personnage, ou même le lien, qui ne sont pas dans ce scénario, n'hésitez pas à me harceler de mp!
ECRITURE ≈ La partie qui fâche Je ne vais pas mentir, mais je suis assez accro à l'orthographe (même si quand je ne me relis pas, c'est-à-dire souvent, je fais aussi des fautes d'inattention ), et à la syntaxe, donc c'est vraiment le point où je risque d'être la plus difficile Ensuite, clairement je privilégie la qualité à la quantité. Ça fait un moment que je n'ai plus rp, mais selon mon inspiration j'avais l'habitude de varier en 700 et 1500 mots. Après, ça dépend vraiment, mais je trouve aussi que les rp sont meilleurs courts, tant qu'il y a de la matière. Donc je ne suis absolument pas contre les rp de 500 mots, à la fois venant de vous mais aussi de moi (d'ailleurs, dans mes rp de 1000, y en a souvent 500 qui racontent à quel point mon personnage est perdu dans sa propre tête, donc ça n'est pas ça qui fait avancer le rp ). Sinon, niveau présence, un rp par semaine me semble raisonnable. Là c'est la période des vacances, donc je sais que je vais être bien plus présente, mais aussi que cela pourra m'arriver de l'être moins, donc je ne veux pas être trop stricte sur ce point. Mais je suis vraiment sur ce forum pour rp, donc je recherche une personne qui a envie d'écrire sur ce lien, et qui ne me lâchera pas au bout de 2 semaines
Anyway, come, come, on va s'amuser |
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Keith Czeslaw YOU ARE A ROMANTIC › date d'arrivée : 28/06/2015 › textos envoyés : 21 › célébrité : nicolas simoes. › crédits : SWEET DISASTER. (ava) & anaëlle (sign') › pseudo : jussy.
| Sujet: Re: (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun Dim 28 Juin - 16:50 | |
| me voilà, jolie rousse. |
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Casey Bradsburry YOU ARE A ROMANTIC › date d'arrivée : 31/05/2015 › textos envoyés : 44 › célébrité : cintia dicker. › crédits : avatar - tearsflight. › pseudo : everdeen.
| Sujet: Re: (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun Dim 28 Juin - 18:12 | |
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| Sujet: Re: (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun | |
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| | | | (m) kit harington ≈ we’re staring down a loaded gun | |
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