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ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours.



 
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 ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours.

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Dylan Mitchell


Dylan Mitchell
A drop in the ocean


date d'arrivée : 04/04/2015
textos envoyés : 633
célébrité : Shailene Woodley
crédits : (c) shiya ~ tumblr
pseudo : Golders ★ Lou

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MessageSujet: ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours.   ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours. EmptyMar 12 Mai - 12:40


ariel hepburn
"this is not an illusion"
ft. candice swanepoel ★ crédit@tumblr.

nom: Hepburn. prénom: Ariel Lauren. âge et date de naissance: 26 ans, née un 1e février. lieu de naissance: Vancouver, Canada. statut: célibataire. job/études: serveuse dans un bar en bord de mer. orientation sexuelle: hétérosexuelle. groupes: écrire ici. avatar: Candice bombshell Swanepoel.

Ariel est née au Canada, à Vancouver, elle y toujours vécu mais à décidé de partir en Angleterre sur un coup de tête, pour essayer de repartir de zéro. Elle est enfant unique, elle n'a ni frère, ni sœur, juste elle et ses parents. Son surnom c'est Ari, même si, selon elle, ça sert à rien d'avoir un diminutif alors que son prénom est déjà court. Elle est ambitieuse, franche, déterminée, bavarde et rancunière, malheureusement elle est également trop naïve et trop rêveuse. Elle a du mal à s'attacher aux gens, elle n'a pas eu de relation sérieuse depuis un bon moment, la dernière était la première, c'était son premier et unique amour, son amour habitant à l'autre bout du monde, c'est bête. Ariel est passionnée par la mode et par le cinéma. Elle parle plusieurs langues parfaitement : l'anglais, le français, l'italien et le russe (allez savoir pourquoi). Elle prend un malin plaisir à maltraiter les gens en russe pour les empêcher de la comprendre, c'est assez drôle à voir. Elle a un caractère fort, elle a énormément de charisme. C'est une fille qui peut se révéler fascinante. Elle adore voyager, découvrir de nouvelles cultures et de nouvelles personnes, c'est un peu aussi ce qui l'a emmenée en Angleterre.

pseudo/prénom: Golders/Lou. âge: la petite vingtaine. pays: Belgique/UK. fréquence de connexion: 7/7. où as-tu connu le forum? it's mine  ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours. 271347548  t'en penses quoi? objectivité, zéro.
Code:
<taken>candice swanepoel</taken> ≈ <pseudo>ariel hepburn.</pseudo>


Dernière édition par Ariel Hepburn le Mar 26 Mai - 20:16, édité 6 fois
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Dylan Mitchell


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A drop in the ocean


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textos envoyés : 633
célébrité : Shailene Woodley
crédits : (c) shiya ~ tumblr
pseudo : Golders ★ Lou

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MessageSujet: Re: ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours.   ari ≈ 3 words, 8 letters and I’m yours. EmptyMar 12 Mai - 12:40


J’ai beau essayer, j’arrive pas à rester loin de toi.
inconnue @tumblrfilm ~ pll.


Des vacances, à l'autre bout du monde. Un véritable havre de paix, un paradis du terre. Bien que mineure, j'avais commencé à profiter de l'hébergement tout compris à l'hôtel dès le premier soir. Imaginez le paradis : buffet ouvert h24, free cocktails jusqu'à minuit. Vers huit heures du soir, je m'étais rendue au bar, profitant du début de ma soirée... seule. « Je peux avoir un cosmo ? » La boisson rose, la boisson des filles, évidemment. Je m'étais installée au bar. Je profitais du fait que je ne fasse absolument pas mon âge pour boire. Probablement pour la première fois de ma vie. Seule, pas de parents autour. Pas d'interdictions. On en reviens toujours à ce havre de paix. « Je peux avoir votre carte d'identité ? » J'avais levé les yeux au ciel et puis il avait rigolé. C'est comme ça que j'ai rencontré la barman. Il m'a fait un clin d'oeil et m'a servi mon verre. « Ta technique de drague est complètement foireuse. » Je saisissais alors mon verre et commençait à boire. « Ah oui ? C'est peut-être parce que j'en ai pas l'habitude. » Et ensuite, blackout. Mais j'ai été gentillement ramenée par le beau barman à l'appart-hôtel vers quatre heures et demi du matin apparemment. La boite venait de fermer et j'avais du boire l'équivalent du bar à moi toute seule. Et c'était que le premier soir.

« T'es souvent déchaînée comme hier ? » Je rêve de me planquer tout au fond de la piscine ou bien dans un trou de souris, à voir. Avec mes lunettes de soleil sur le nez, au bord de la piscine, j'espérais ne pas me faire griller mais il était trop tard. Il avait commencé à poser ses affaires sur le transat' d'à côté. J'étais cuite, carrément, cuite cuitée et cuite cuite. Et je parlerais pas du soleil. « Une soirée typique. » Je ne le regardais pas, j'avais les yeux fermés et j’espérais que le soleil ferait passer cette affreuse gueule de bois. Y'a rien de pire que la gueule de bois. Je vous passe les symptômes, tout le monde l'a eu au moins une fois. « C'est assez drôle en fait, t'as commencé à boire au bar et finalement, t'as finis en boite avec moi, à danser avec des inconnus et à boire sur mon compte après minuit... » Il avait ponctué sa phrase par un petit rictus et j'étais morte de honte. Je suis déjà pas très bronzée (ouais, y'a pas de soleil au Canada), imaginez comme ça aurait été facile de me retrouver rouge. Croyez-moi. « Je suis vraiment désolé... » Oups. « Comment tu t'appelles déjà ? » Je tournais ma tête vers lui après avoir enlevé mes lunettes de soleil. Ça semblait le faire rire. Au moins un qui s'amusait aujourd'hui. Mes parents ne m'avait pas entendue rentrer, dieu merci, ma journée aurait probablement été pire. « Aaron, ne m'appelle plus jamais barman s'il te plaît. » Morte de honte. Jusqu'à la fin de ma vie. « Et pour te rassurer, cet hôtel est à mes parents, on a qu'à dire que tu ne me dois rien. »

★★★

L'année qui a suivit, on est reparti en vacances, au même endroit. J'étais toute excitée à l'idée de retrouver Aaron et la jolie petite bande qu'on avait formé l'année d'avant. Lorsque je suis arrivée à l'hôtel, je savais où le trouver. On était restés en contact toute l'année, on s'était écrit, encore et encore même si on ne savait pas quoi se dire à force d'écrire. J'ai frappé à la porte de sa chambre. Et il a ouvert. Et à ce moment là j'ai pas pu m'empêcher de lui sauter dans les bras. On s'est pas lâchés pendant peut-être 5 minutes. Et finalement j'ai regagné la terre ferme. « Un an, déjà. » Je savais pas quoi dire non plus... « Ouais... » Il m'a invitée à entrer et on est restés sur son lit à se raconter nos aventures pendant des heures, des heures entières sans s'arrêter, même si on avait probablement dû se raconter la totalité des choses dans nos écrits. Et puis j'ai regardé l'heure sur mon téléphone. « Tu sais quelle heure il est ? » demandais-je en rigolant. « Onze heures ? J'en sais rien. » Je levais les yeux au ciel avant de lui dire qu'en réalité il était trois heures du matin. Et j'avais remis la faute sur lui, c'était à cause de lui que je rentrais tard chez moi. C'était faux, on le savait mais c'était drôle de voir sa réaction. Il avait rigolé avant de me pousser légèrement. On a finit par s'endormir sur le lit, devant un film. Mes parents ne se sont même pas demandés où j'avais passé la nuit. Ils le savaient déjà.

La soirée sur la plage. Une tradition. Enfin, ça, c'est pas de moi. « T'es venue finalement... » Il semblait plutôt heureux à cette idée. Moi je l'étais en tout cas. Une soirée sur la plage, en compagnie des potes. La musique prenait possession de la plage, tout le monde buvait, tout le monde dansait et évidemment on faisait pareil. Jusqu'à ce qu'Aaron m'attrape le bras, l'invitant à le suivre. On était partis s'asseoir plus loin, sur un des rochers, à l'abri de la musique et de la population. « Y'a quelque chose dont je voulais te parler depuis un moment mais je me suis dit que par écrit, c'était pas génial. » Les questions tournaient dans ma tête, je savais pas quoi penser, je savais même pas de quoi il voulait me parler. Pourtant on pensait tout s'être racontés quand on s'est revus. Apparemment non. « Je t'écoute... » J'étais toute ouïe. Ça semblait être important pour me traîner au l'autre bout de la plage. Surtout qu'il semblait nerveux, anxieux, la panoplie du gars qui s'apprête à te faire une confidence énorme comme le monde. Est-ce qu'il avait tué quelqu'un ? « Calmes-toi t'es entrain de me faire stresser et je sais même pas pourquoi... » Il avait rigolé, nerveusement. Et puis il m'avait pris la main. Et là, je crois que c'est le moment où j'ai décroché parce que je m'étais perdue dans ses yeux. « J'y pensais déjà l'année dernière mais c'était un peu tôt. Et puis ça semblait plus compliqué à l'époque que maintenant mais tu me plais beaucoup Ariel... » Il l'avait dit. J'y avais pensé, de nombreuses fois. Mais il avait fait le premier pas et il me l'avait dit. Et on s'est embrassés. Et c'est ainsi que ça à commencé. C'est ça qui a dû rendre les choses plus compliquées.

★★★

Lorsque j'ai débarqué pour la troisième année consécutive, je savais qu'il m'attendait. Il avait fait le déplacement jusqu'à l'aéroport juste pour moi. Et lorsque j'étais arrivée, je lui avait sauté dans les bras, c'était nos retrouvailles, notre manière de se dire "tu m'as manqué" sans même avoir à prononcer un mot. Un véritable moment de bonheur. On ne s'est pas lâchés pendant plus d'une semaine. On avait passé du temps sur la plage, à regarder des films. Et un soir, après la fin de la diffusion d'un de nos films culte, il s'est tourné vers moi et m'a annoncé qu'on ne se verrait probablement plus avant que je rentre au Canada. « Je dois partir quelques jours mais je te promet que je serais de retour avant de tu repartes. » Et ça, ça m'a brisé le cœur. Je revenais chaque année, surtout pour lui. J'avais limite forcé la main à mes parents pour revenir cette année encore. Et là, il allait m'abandonner. Ça me faisait mal. J'aurais aimé rester plus longtemps, j'avoue. J'aurais surtout aimé qu'il ne parte pas. J'avais commencé à tirer la gueule, comme toute fille qui se respecte. Et finalement, j'avais choppé un coussin pour le frapper avec. Et ça avait dégénéré en bataille de polochon. Les plumes volaient dans la pièce, c'était un moment plutôt génial (la bataille de polochons, évidemment). Et puis, je me suis éclipsée dans la salle de bain. Et lorsque j'étais revenue, malgré les plumes qui étaient dispersées dans la pièce, il avait disposé des bougies partout et des roses sur le lit. C'était romantique. C'était la plus belle chose que quelqu'un avait fait pour moi. « Je sais que tu m'en veux mais je te promet que je serais toujours là. » C'était adorable. C'était mignon. Je trouvais pas les mots alors j'me suis contentée de lui faire un câlin. Vous imaginez la suite. J'aurais pas pu rêver mieux. J'espérais juste, au fond de moi, que ce ne serait pas la dernière fois qu'on se verrait.

Les secondes étaient longues, trop longues. J'étais dans la salle d'embarquement pour rentrer à la maison et il n'était pas là. Il n'était pas revenu. Il m'avait plantée. J'étais mal, j'étais désespérée. Je me suis levée, c'était leur de rentrer dans le salon des premières classes, ça marquait la fin de mon séjour. Et puis, j'ai entendu sa voix. « Ari, attends... » Et je me suis retournée, j'ai couru et je lui ai sauté dans les bras. Même si j'étais triste. Même si j'avais envie de rester. Même si ça me faisait mal. « J'ai vraiment cru que je ne te reverrais plus... » J'arrivais pas à le lâcher, mes parents me pressaient. Ils semblaient pas comprendre à quel point ça comptait pour moi. « Je suis désolé, vraiment. Mais on s'écrit, comme d'habitude et on se revoit l'année prochaine d'accord ? » Je souris faiblement même si j'avais envie de pleurer. Je savais que l'année prochaine je n'irais pas en Australie. Je savais que je ne le reverrais probablement plus. Mes parents m'en avaient parlé, ils m'avaient dit ''on aura pas l'argent nécessaire pour partir en vacances l'année prochaine''. Malgré tout, j'avais tenté de faire semblant de rien. J'avais acquiescé. Et puis, était venu l'heure de partir. Un je t'aime plus tard, j'étais dans l'avion. C'est la dernière fois que je l'ai vu. On s'est écrit pendant des mois, pendant des années et puis, tout a stoppé d'un coup, encore aujourd'hui, j'ignore pourquoi. J'ai décidé de repartir à zéro et j'ai déménagé.
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