Love Me Like You Do.

Andrew Spencer White.

« La meilleure façon de se conduire avec une femme, c’est de lui faire l’amour si elle est belle, et de le faire avec une autre si elle est l’aide » - Oscar Wilde.
ft. Christian ~~Bruce Wayne~~ Bale ★ crédit@tumblr.

nom: White. prénom: Andrew Spencer. âge et date de naissance: 35 ans, il est né le 30 novembre 1979. lieu de naissance: A Austin, dans le Texas. statut: Célibataire, préférant les passages éphémères des filles dans son lit. job/études: Il est avocat au barreau. Travaille surtout pour l'accusation. ~~Super-Héros à ses heures perdues.~~ orientation sexuelle: 100 % hétérosexuel. groupes: Out ou Down. avatar: Christian fucking Bale. Love Me Like You Do. 4235959887

Il est né un certain trente novembre 1979, à Austin, la capitale du Texas.

Pour vous évitez des calculs savants, il a dont 35 ans, va sur ses 36. Il se fait vieux.

Sa mère est une mère au foyer et son père est un chirurgien renommé. Il est fils unique.

Contre l'avis de son paternel, il a suivi des études de droit au lieu de médecine.

A cause de ça, il est en froid avec lui et ne lui a plus parlé depuis plusieurs années.

Sa mère s'est suicidée alors qu'il était âgé de 3 ans.

Dès la fin de ses études, il a été engagé dans un cabinet d'avocat réputé.

Il a passé haut la main les examens pour être avocat au barreau.

Il a postuler pour le poste de District Attorney.

Il fut un temps, il croyait en l'amour. Il s'était mis en couple avec son amour de jeunesse et avaient même eu une fille, sans pour autant se marier. Les deux furent tués par un psychopathe.

Suite à ça, il prit un congé sabbatique d' une année. Il tomba en dépression et sombra de plus en plus dans l'alcool.

Il a décidé de se reconstruire petit à petit, a repris son boulot depuis peu, évite de s'attacher le plus possible, profitant des aventures passagères.

Il est accro au café. Il ne peut rien faire tant qu'il en a pas bu le matin.

D'ailleurs, il ne supporte pas qu'on le dérange à peine réveiller.

Côté musique, il écoute principalement du rock, country, ...

Il fait de la moto. Il l'utilise le plus possible.

Pour ce qui concerne le groupe, je sais pas trop lequel choisir. D'un côté, il a été chanceux en amour mais vu la suite des événements il se dit plutôt malchanceux et se voit finir sa vie seul~~non pas comme une mamie entourée de chats.~~ (DOWN) et de l'autre côté, il en est devenu presque indifférent, l'évitant le plus possible, ayant peur de se rattacher, ne voulant pas se remettre en couple et enchaînant les conquêtes, les soirées, ... (OUT).

pseudo/prénom: V. âge: 24 ans, bientôt 25. pays: Dans le pays du chocholat. fréquence de connexion: 6/7 on va dire. où as-tu connu le forum? Bazzart. t'en penses quoi? Les histoires d'amour ce n'est pas trop mon truc, mais j'ai eu un coup de cœur pour votre forum Love Me Like You Do. 1981818882

Code:: <taken>Christian Bale</taken> ≈ <pseudo>Andrew White.</pseudo>

My eyes were closed but my mind was awake.

Austin, Texas, 1982.

Le jour où ma vie et celle de mes parents bascula dans les ténèbres. Tout se passait à merveille durant cette chaude journée d’été. On était en plein mois de juillet et nous avions, mes parents surtout, décidé de profiter du beau temps et du jardin, et de préparer un barbecue. Pendant que ma mère préparait les accompagnements et que mon père jonglait entre préparer la viande et allumer le feu, moi je me trouvais seul dans le jardin, jouant comme un enfant de 3 ans, que j’étais d’ailleurs, avec Cookye, notre Berger Allemand de 5 mois. C’était mon meilleur ami. L’être le plus cher à mon cœur, celui qui me comprenait d’un simple regard et qui n’avait pas besoin de parler pour me réconforter. Je n’eus pas le temps de réagir ni de dire quoi que ce soit que j’avais l’impression de léviter. Mes petits pieds battaient l’air au lieu de fouler l’herbe fraîchement coupée. Puis, soudainement ce fut le black-out. Je n’étais plus conscient de rien. Cookye s’était mise à aboyée, mais le temps que mes parents sortent de la maison, il était trop tard. Je n’étais plus là. Je gisais déjà dans un coin d’une camionnette sale, qui cahotait sur le bitume à une vitesse folle.

Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de cette période, étant encore un gamin, mon cerveau a précieusement stocké les informations et les images que je voyais. Mais je vais quand même vous parlez des choses dont je me souviens. Tout d’abord, je m’étais réveillé dans une pièce sombre, puant le renfermé, aux murs décrépis. Il y avait en tout et pour tout une ampoule qui pendouillait du plafond, un lit, un coin toilette avec une bassine pour se laver. Rien d’autre. Mon / mes ravisseur(s), je ne savais pas combien ils étaient ni qui ils étaient – je n’appris que bien plus tard qu’ils étaient deux, un homme et une femme -, m’apportaient à manger trois fois par jour, me laissant seul la plupart du temps. Je ne comprenais pas pourquoi ils faisaient cela. Nous n’avions pas d’argent. Mon était certes chirurgien et que nous vivions confortablement, nous ne roulions pas sur l’or pour autant. Pendant toute la durée de ma captivité, une semaine, je nageais entre conscience et inconscience.

Mes parents déployèrent tous les moyens possibles à leur disposition, regroupant de l’argent, s’attendant à recevoir une rançon, qui n’arriva jamais. Ma mère ne supportant pas mon absence et étant certaine qu’on ne me retrouvait jamais en vie, se suicida quatre jours plus tard. Selon mon père, cela faisait déjà un moment qu’elle avait les nerfs qui lâchaient. Malheureusement pour elle, et surtout pour moi, on me retrouva trois jours après sa mort. Après une semaine de calvaire. Comment la police s’y était prise exactement, je ne le sais toujours pas. Je fus hospitalisé pendant deux semaines, j’étais déshydraté et sous-alimenté. Mon père ne m’apprit pas de suite la mort de ma mère, ne voulant pas m’accabler encore plus. Etant donné que l’affaire avait été médiatisée depuis le début, à cause de l’alerte Amber, dès ma sortie de l’hôpital les journalistes ne lâchèrent pas d’un pouce mon père. Ils voulaient tous des interviews, des photos du petit miraculé, trouvé sain et sauf. Ne supportant pas la pression, mon père vendit la maison et décida de recommencer une nouvelle vie ailleurs, loin de tout ça, loin des souvenirs de sa femme. Il voulait rester fort pour moi. C’était la seule chose qui me restait. Nous partîmes donc pour l’Europe, très loin de l’Amérique, et nous nous installâmes en Angleterre, plus précisément à Brighton. Ce ne fut que là que j’appris la raison de mon kidnapping. Les ravisseurs, un jeune couple, venaient de perdre leur enfant âgé de 4 ans, et d’après ce qu’ils avaient raconté à la police, je ressemblais tellement à leur petit qu’ils m’avaient pris pour lui et m’avaient ramené chez eux. Ils sont encore actuellement emprisonnés.

I didn’t wanna wake you up, my love was never gonna be enough.

Brighton, UK, de 1982 à 2014.

Ma vie continua normalement, enfin, si on peut dire qu’elle avait été normale jusqu’à maintenant, avec ses hauts et ses bas. Mon père avait trouvé du travail, toujours en tant que chirurgien et je passais mes journées chez une nounou. Je ne le vécus pas mal et je grandis comme tout autre enfant. La vie n’étant pas rose du tout, un autre drame s’abattit sur nous. On devait attirer la poise. Ce n’était pas vraiment un drame, mais mon père le vécut ainsi. Dès que je fus en âge de rentrer à la fac, sans trop savoir pourquoi, j’avais décidé de faire des études de droit, pour devenir un avocat ambitieux. Mon père, lui, voulait que je devienne chirurgien, pour perpétuer la lignée de la famille. En effet, tout comme mon paternel, mon grand-père était aussi médecin. Il ne me voyait que dans cette voie là et pas dans une autre. Je tins bon et, n’acceptant jamais mon choix, il fut de moins en moins présent dans ma vie. Heureusement pour moi, j’avais trouvé une chambre sur le campus, j’évitais ainsi sa mauvaise humeur et sa mauvaise foi.

Je me sentis tout de suite à l’aise sur le campus, je me fis rapidement des nouveaux amis et pout ce qui était des cours, tout se passait à merveille. J’avais toujours des bonnes notes. De temps en temps, je recevais un appel de mon père, mais je ne l’écoutais plus. Il disait toujours sa tirade, comme quoi il était déçu de moi, que je n’étais plus son fils, et patati patata. Seulement à cause que je ne voulais pas devenir médecin. Je commençais à rejeter systématiquement ses appels. Lors de ma deuxième année d’étude, je fis la rencontre d’une jeune fille, qui suivait le même cursus que moi, mais une année en-dessous. Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris qu’il s’agissait d’une de mes anciennes voisines, et donc j’étais tombé secrètement tombé amoureux dès mon plus jeune âge. Une année après nous étions en couple et à la fin de nos études, réussies pour tous les deux, elle tomba enceinte et neuf mois plus tard je devins père d’une petite fille. J’avais l’impression de nager en plein bonheur, d’être aux pays des merveilles. Mais comme toute bonne chose à une fin, quelques mois après la naissance de ma vie, j’appris la mort de mon père. Le cancer l’avait terrassé. Ne supportant pas mon éloignement, il s’était mis à boire de plus en plus. La cirrhose ne lui avait laissé qu’une année à vivre. Je me retrouvais orphelin de parent. Je m’investis encore plus dans ma petite famille, leur apportant tout ce que je pouvais.

Nous avions déménagé, restant toujours à Brighton, dans une maison de style victorien, que j’avais réussi à rénover. Ma « femme » avait décidé d’arrêter de travailler, alors qu’elle n’avait même pas encore commencé, pour commencer de s’occuper de la petite tandis que moi j’avais trouvé un cabinet d’avocat très réputé qui m’avait engagé. Quelques mois plus tard, je passais haut la main les examens pour devenir avocat au barreau. Je pouvais dès à présent me présenter au tribunal et au moins, je pouvais choisir mes clients. Je ne serai plus un avocat commis d’office. Je me spécialisais dans l’accusation. Je me voyais mal devoir défendre des crapules, des voleurs, violeurs ou bien pires encore. J’étais de ceux qui faisaient tout leur possible pour qu’ils soient accusés et qu’ils n’en ressortent plus jamais. Sans me vanter, j’étais plutôt bon à ce jeu. Ma vie s’écroula de nouveau en 2010, il y a cinq ans. Quelques années auparavant j’avais réussi à faire incarcérer un dangereux criminel et récidiviste. Mais ce que je ne savais pas, c’est que je ne sais pas pour quelle raison idiote, ils ont décidé de le libérer pour bonne conduite. Ni une ni deux, dès sa sortie, soif de vengeance, il se présenta chez moi. Ne me trouvant pas à la maison mais au bureau, il assassina à ma place ma « femme » et ma fille, en guise d’avertissement. Ce n’étaient que des victimes collatérales. Il fut de nouveau incarcéré quatre jours après, et cette fois-ci, je fis tout mon possible pour qu’il ne puisse plus jamais ressortir de prison. Heureusement pour lui qu’on n’était pas au Texas, sinon j’aurais certainement exigé la peine de mort. Ce fut ma dernière enquête. Je me trouvais un appartement et je partis de chez moi. Je pris une année sabbatique à bon cabinent et je sombrais petit à petit dans la dépression et l’alcool, passant mes journées à boire verre sur verre.

La fin de mon année sabbatique s’approchant à grand pas et devant reprendre mon travail, qu’heureusement j’adorais par-dessus tout, je décidais de me reprendre en main. Je diminuais les doses d’alcool et j’essayais d’avoir de nouveau une fille à peu près stable. Et dès la reprise de mon travail, tout se remit en place correctement. Je buvais encore, bien évidemment, mais que dans certaines occasions et un verre de temps en temps. J’étais redevenu sobre et rien que le fait de travailler, ça m’aida pour faire le deuil de ma perte. Je m’étais promis que plus jamais je ne m’attacherais à quelqu’un et que je n’aimerais plus personne. J’avais l’impression de trahir la mère de mon enfant et je ne voulais pas de nouveau souffrir. Je préférais donc les aventures passagères, les coups d’un soir, avec des filles de tous âges. Peu m’importait.

Lets try again and say goodbye.

Brighton, UK, 2015.

Actuellement, je suis redevenu comme j’étais avant l’assassinat de ma famille. Je me tue à la tâche au travail pour ne pas y penser, je ne bois quasiment plus mais par contre, j’enchaîne toujours les conquêtes. Rien de bien grave. En gros, j’ai repris ma vie en main. J'ai même postulé pour le poste de District Attorney - adjoint du procureur - et je suis toujours en attente d'une réponse. J'espère que je serai pris.

oh, Christian

bienvenue et bon courage pour ta fiche
compatriote belge? (a moins que l'pays du chocolat soit la Suisse, dans ce cas, j'aurai l'air encore plus tarte que d'habitude )

Invité Invité

BALE. excellent choix de dingue
bienvenue parmi nous, merci pour ton inscription et si besoin le staff est là
bon courage pour ta fiche
je veux ~~exige~~ un lien

Invité Invité

God, Bale

bienvenu à toi beau garçon Love Me Like You Do. 1024283425

Ariel : Suisse Love Me Like You Do. 2028534331

, j'aurais dit le pays des frites sinon Love Me Like You Do. 299480679

Ismaël : Très bon choix toi aussi, Hardy Love Me Like You Do. 2802360487

. Et je ne peux refuser ton offre de lien Love Me Like You Do. 2028534331

&avant que j'oublie, MERCI A TOUS Love Me Like You Do. 2674354011

Et en passant, si jamais, je rechercherais aussi des liens, si des gens auraient des idées, j'suis preneuse Love Me Like You Do. 3671464036

Invité Invité

BALE ou l'homme parfait Love Me Like You Do. 1981818882

bienvenue

et je viendrais sans doute te harceler Love Me Like You Do. 978428405

ouais mais on a du ~~bon~~ chocolat aussi, ça porte à confusion

Faith : Mercii Love Me Like You Do. 3161760286

et j'adore ton nom Love Me Like You Do. 3675755751

.

Ariel : Je sais pas, j'en ai jamais goûté du votre ... haha,
mais vous avez de bonnes bières Love Me Like You Do. 2820356534

Invité Invité

mooooow c'est triste ton histoire j'ai aimé lire
pour le groupe, c'est plutôt down, parce qu'au fond il y croit quand même en l'amour, même si il refuse de l'avouer, en enchaînant les coups d'un soir
tout est parfait, je te valide, bon jeu parmi nous

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» (m) au choix ≈ love of mine
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